L'expression des gènes de métallothionéines, MT, et l'accumulation des MTs dans les tissus lors d'une contamination métallique sont étudiées chez de nombreux modèles animaux. Pour mieux comprendre leur rôle in-vivo, nous étudions par une approche biochimique leurs fonctions de protection contre les métaux, et l'importance de la fonction anti-oxydante qu'on leur attribue, chez des organismes microbiens jouant le simple rôle de réacteur cellulaire vivants, la bactérie Escherichia coli et la levure Saccharomyces cerevisiae.

Pour en savoir plus, voir : Arini et al 2014. Environmental Pollution, 192: 74-82 ; Paul-Pont et al 2012. Ecotoxicology and Environmental Safety, 75: 119-126 ; Strady et al 2011. Chemosphere, 84: 80-90; Paul-Pont et al 2010. Environmental Pollution, 158, 11: 3401-3410; Paul-Pont et al 2010. Environmental Science and Pollution Research, 17:987-998; Paul-Pont et al 2010. Marine Pollution Bulletin, 60: 515-525; Paul-Pont et al (2010). Aquatic toxicology, 97:260-267 ; Marie et al 2006, Chemosphere, 65: 609- ; Legeay et al 2005, Aquatic Tox., 74: 242- ; Gonzalez et al 2007, Biochimie, 89: 1474- ; Achard-Joris et al 2007, Biochimie, 89: 1474- ; Moreau et al 2008, Biochimie, 90: 705-.